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Feuille de personnage Race: Elfe Métessence: 4887 Métier: Empereur-Elfe de Quanjin et dirigeant de Gen'Iryu Empereur-Elfe de Quanjin et dirigeant de Gen'Iryu | Lien du message - Jeu 6 Mai - 0:20 |
| Fëanor Eldarion Surnom : L’Empereur-Elfe, le Trésorier, l’Oreilles-Pointues (péjoratif), le Visionnaire (mélioratif) Âge : 207 ans Sexe : Masculin Race : Elfe Origine : Gen’Iryu Groupe : Quanjin Statut : Empereur-Elfe de Quanjin et dirigeant de Gen'Iryu Description psychologiqueHonneur, paix, joie. Ce sont les trois lignes directrices d’Eldarion, les trois éléments qu’il souhaite donner à chacun des citoyens quanjis. Ce sont donc évidemment des valeurs qu’il a fait siennes : jamais il ne manque à sa parole, toujours il cherche la diplomatie et la paix, et il essaye de toujours voir en tout un motif de se réjouir. Mais il n’est pas naïf pour autant : il sait trouver rapidement la duplicité et la malhonnêteté chez ses interlocuteurs.
Pour lui, il est également important de distinguer son devoir et sa vie privée. Ainsi, lorsqu’il retrouve sa famille et ses amis, il parle très peu de son travail, et ce uniquement si on le lui demande. Il a décidé d’adopter un rythme de vie très sain : excepté lorsque des affaires importantes requièrent sa présence, il se couche, se lève et mange tôt, et sait rester détendu même dans les situations difficiles - un atout majeur pour un dirigeant.
Il est la tête pensante du triumvirat de Quanjin, et s’occupe de la plupart des aspects administratifs et financiers de l’empire. Il est également le porte-parole du gouvernement, celui qui va le plus souvent parler aux autres dirigeants et aux émissaires ; lorsqu’il s’agit de parler en public, en revanche, c’est plutôt Bai-Ying qui s’en occupe, car étant le plus apprécié du peuple. En effet, Fëanor n’est pas forcément apprécié de tous, malgré sa compétence et sa placidité. Certains confondent son approche diplomatique et pacifique avec de la lâcheté, et d’autres ont toujours, malgré son ancienneté, une dent contre la branche elfique du triumvirat. Description physiqueComme pour beaucoup d’elfes, il est difficile d’estimer l’âge de Fëanor. Lorsqu’il est d’humeur insouciante, il paraît avoir vingt ans humains, et lorsqu’il est soucieux il en paraît le double. D’une taille légèrement en-dessous de la moyenne, il est doté d’yeux gris perçants et de cheveux bruns, et d’une voix claire. Rien qui sorte de l’ordinaire, à première vue, si ce n’est sa prestance et son maintien, toujours particulièrement digne, même dans les situations critiques. Même pour un elfe, Fëanor a des mouvements particulièrement fluides et gracieux. Sa famille ayant reçu une bénédiction particulière de Thanysphos, il est doté du don de vision mystique mais aussi physique : son regard est si acéré qu’il peut voir les cellules qui composent la peau, ou bien un ennemi caché dans les broussailles d’une forêt à des kilomètres. On peut distinguer cela dans ses yeux dont le gris semble briller étrangement. Fëanor s’habille toujours élégamment, mais en général rien ne le différencie d’un noble modeste. Il porte rarement le diadème d’argent de sa famille, symbole de sa place et de son pouvoir ; il le sort pour les entrevues diplomatiques et les grands évènements. HistoireFëanor est né en l’an 591, dans la toute nouvelle capitale de l’empire, Gen’Iryu. Jeune elfe sage mais lunatique, il eut du mal à se cantonner à ce qu’il était censé faire et à se concentrer sur son éducation de jeune prince. Ce ne fut qu’après son adolescence, bien plus longue que celle d’un humain, que son intérêt s’éveilla enfin pour son rôle : il s’impliqua dans son apprentissage et ses études, et dès lors y devint très bon, au grand soulagement de ses parents.
Le temps passait et Fëanor gagnait en sagesse et en expérience ; l’empire croissait en même temps que lui, repoussant chaque jour ses frontières plus loin, jusqu’à ce qu’il finisse par toucher celles de ses voisins et par pouvoir rivaliser en taille avec eux. Le père de Fëanor, membre du triumvirat, exhorta alors les deux autres membres à prendre les armes pour continuer l’extension de leur glorieux empire, et sa proposition fut acceptée. Le jeune prince fut envoyé au combat avec l’armée du nord, qui marchait sur la forêt de Pourpre, alors terre venderfelienne ; et en décembre 745, les deux armées se rencontrèrent.
Les armées étaient parties confiantes, les soldats certains que la guerre serait courte et que Quanjin règnerait sur le monde dans deux ou trois années ; ils durent vite déchanter. Fëanor, lui, avait redouté précisément ce qui se passa : après des combats d’une grande violence au début, les deux armées plantèrent leurs tentes et passèrent la plus grande partie du temps à attendre. Au bout de deux ans, Fëanor, devant l’incompétence de son chef, prit les devants. Il n’aimait pas la guerre, mais il tenait à accomplir son devoir : aidé d’une poignée d’elfes en qui il avait toute confiance, il s’avança dans la forêt. Grâce à leur discrétion et à leur vivacité, ils éliminèrent plusieurs gardes et sentinelles ennemis sans donner l’alerte, se cachant dans les arbres, utilisant des armes silencieuses et très efficaces, comme des fléchettes empoisonnées. Ils finirent par être repérés, mais le prince l’avait prévu : il emmena ses ennemis dans un marécage traître, sautant d’arbre en arbre, laissant les soldats ennemis y pénétrer pour se rendre compte trop tard qu’ils s’enfonçaient dans la vase. Il fut accueilli comme un héros, et passa de prince pistonné à guerrier compétent.
La guerre se poursuivit pendant encore des années, mais Fëanor guidait maintenant ses troupes, et peu à peu l’armée progressait... jusqu’à ce qu’un nouvel ennemi apparaisse. Les chloridans prirent les armes contre les deux armées, et firent preuve d’une férocité et d’une hargne terrible, forçant peu à peu leurs ennemis à battre en retraite, chacun de leur côté. Fëanor se battit comme il le put pour vaincre ce nouvel ennemi, mais lorsque des éclaireurs terrifiés affirmèrent avoir vu le dieu Gaïeus en personne mener les chloridans, il retira ses troupes de la forêt. Depuis cette guerre, Fëanor, qui n’était déjà pas un belliciste convaincu, devint un pacifiste affirmé. Cela lui attira beaucoup d’inimitiés, dans cette nation où guerroyer était honorable, mais il tint bon, et d’autres furent heureux de pouvoir compter sur lui. Ses relations avec les nations
VenderfelPositif |
QuanjinAcclamé |
KemsorëNégatif |
Grimoire d 'aptitudes Métessence : 4887 Statistiques
Utilitaire
Charisme | Perception | Volonté |
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Déplacement
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Combat
Force | Précision | Résistance physique |
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Magie
Mana | Puissance | Résistance magique |
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Style de combatFëanor est un excellent archer et maître en arts martiaux divers. Beaucoup pensent que parce qu’il est pacifiste, il ne sait pas - ou a oublié - comment se battre, mais pacifiste ne veut pas dire naïf : l’Empereur-Elfe s’entraîne très régulièrement au maniement des armes, sachant bien que parfois il n’y a pas d’autre solution que de se battre. Il possède toujours l’arc qu’il avait à ses débuts, en bois d’alwistère, et des dagues d’excellente qualité. Il est également très versé dans les connaissances magiques. Mais s’il dispose d’incroyables réserves de mana, il semble en revanche ne disposer d’aucun sort réellement puissant. PouvoirsPouvoirs actifs1er pouvoir : Flèche élémentaire
Description : Fëanor peut utiliser sa magie sur son arc, donnant ainsi à ses flèches un pouvoir élémentaire, n’importe lequel, selon sa volonté (explosif, électrique, givrant...).
2ième pouvoir : Don de l’Empereur-Elfe
Description : Lorsque la dynastie elfique monta sur le trône aux côtés des deux autres, Thanysphos apparut et bénit cette lignée. Depuis, tous les premiers nés de la famille peuvent avoir des aperçus flous de l’avenir, mais également du passé ou du présent. Ils ont également reçu une vision et une ouïe supérieures à celle des autres elfes, et donc de loin supérieure à celle des humains.
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